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Histoires Des Invitées

Florence 2

Par Florence

 

Cette situation dura au moins une dizaine de minutes... qui furent une éternité pour moi. C'était surréaliste, j'étais nue, chez moi dans cette position indécente et humiliante au vu de ces trois individus qui me tenaient par un chantage éhonté : accepter toutes leurs perversités sadiques ou risquer de tout perdre : mon travail, ma maison, ma famille...

L'humiliation était accentuée par le fait qu'ils discutaient de choses banales en sirotant mon whisky hors de prix, allongés sans scrupules sur les fauteuils et canapé du salon, leurs chaussures sales sur mon tapis afghan payé une fortune quand elles n'étaient pas frottées contre le tissu délicat recouvrant mes sièges, sans respect pour mon "chez moi".

J'étais là, à leurs côtés comme un objet, un meuble de décoration et je devais me conformer à ce statut ! Ne pas bouger, mes seins pendants, ma peau avec la chair de poule, écouter leurs paroles sans aucun intérêt et surtout ne pas les déranger mais attendre comme une esclave dévouée l'étape suivante de la punition perverse que Malika avait décidé de m'administrer... et je n'allais pas attendre longtemps à connaitre la suite.

Malika et ses deux acolytes ayant fini leurs verres, elle reprit la main en portant de nouveau son regard sur moi :

    - Bon la pause est finie Flo !

Elle me scruta dans ma position indécente à 4 pattes sur la table basse tête baissée :

    - T'es vraiment d'un ridicule comme çà ! Tu n'as vraiment aucune dignité ! Allez, feignasse, descend et fais nous visiter ta villa de parvenue ! et commence par ta chambre conjugale

Je revenais dans le réel et je replongeais dans le cauchemar ! J'allais devoir leur faire découvrir mes espaces privés !

Mais n'ayant pas le choix et obéissante pour ne pas la braquer, je descendis de la table et je guidais la troupe en marchant à 4 pattes devant eux.

J'entendais Malika qui essayait de restreindre les ardeurs de Djamel qui murmurait dans mon dos

    - Mais oui Djamel elle tortille bien son cul en marchant la truie - je comprends que ça t'excite mais t'inquiètes pas, tu devrais aimer la suite.

Et me voila dans ma chambre conjugale, mon espace le plus intime tout simplement violé par ce trio pervers.

    Alors c'est là que tu te fais engrosser ? me dit méchamment Malika

Je prends sa remarque comme une claque mais encore une fois et plus que jamais obéissante je fais oui de la tête craignant ses représailles en cas de rébellion.

    - Hmmm ca respire le luxe ici ! Et la voila qui tâte mon matelas, ouvre sans gêne les tiroirs de ma commode fouille dans mes affaires.

Elle ouvre en grand mon dressing er découvre ma garde robe : tout y est, mes robes de mi saison, mes robes de soirée, mes jupes, mes tailleurs et chemisiers de marque !

Et d'un coup elle racle sa gorge et crache violemment sur celle-ci avec un bruit animal d'une vulgarité sans nom !

Puis elle choisit un de mes chemisiers, un des derniers que m'a offert Julien, et qui a du lui coûté une fortune

Elle l'attrape et dit a Djamel d'aller chercher des ciseaux

Celui-ci revient et Malika me fait signe de prendre les ciseaux et me les tend en me disant :

    - C'est toi-même, la bourge déclassée, qui va lacérer cet habit ! Maintenant et devant nous !

    - Oh ! Je ne peux m'empêcher de pousser un cri de stupéfaction ! Jusqu'où ira son ignominie ?

Mais docile, me voilà bien obligée de prendre mon chemisier et de commencer à le découper a genoux devant elle qui jubile et ricane.

En donnant devant elle un premier coup de ciseau dans cet habit je réalise que c'est une partie de ma vie que j'efface ! La femme bourgeoise, sûre d'elle, qui a réussi dans sa vie professionnelle et personnelle ! Tout ce monde semble s'écrouler d'un coup.

J'ai les larmes qui coulent sur mes joues devant tant d'humiliation mais tout cela ne l'apitoie mais mais semble au contraire raviver son excitation !

    - Allez fais nous de petits lambeaux de tout çà ! C'est pour te faire comprendre que toi aussi tu finiras en lambeaux ma pauvre !

Et voilà le "travail" fait : mon chemisier ne ressemble plus à rien découpé de toutes part : il représente ma vie qui m'échappe, qui s'effiloche, qui se défait !

Puis voila Malika jamais rassasiée qui ouvre ma commode et trouve ma lingerie : mes soutiens gorges dentelles et mes strings assortis, dentelle ou satin.

Elle examine mes strings et les montre aux deux gars :

    - Elle s'emmerde pas la bourge, toujours le cul à l'air sous ses robes ! On dirait qu'elle attend que ça de se faire sauter !

puis elle en donne 2 à chacun d'entre eux qui commencent à les sentir.

Dany s'esclaffe : hmmm ça sent la bourge en rut ! J'ai la chair de poule devant tant de vulgarité.

Et je vois Malika qui ouvre en grand mon tiroir de lingerie. Je sens bien qu'elle a une idée perverse derrière la tête. Et en effet, dos à moi, elle remonte sa jupe sans aucune gêne découvrant son large postérieur. Puis elle enlève son string. Je la trouve terriblement vulgaire de montrer son intimité comme ça devant moi qui plus est dans MA chambre conjugale !

Elle se retourne montrant son entrecuisses touffu juste à ma hauteur puis me regarde en ricanant : tu vas voir ce que j'en fais de ta lingerie à 100 euros le soustif !

Et je la vois avec horreur devant moi appuyer ses fesses sur le bord du tiroir et d'un petit saut poser ses cuisses sur le tiroir en mettant ses bras sur le dessus de la commode pour se retenir.

Et d'un coup elle se lâche et elle sort un jet d'urine puissant sur mes pauvres dessous ! Elle rit en lâchant son urine et son odeur commence a remplir la chambre - je vois avec détresse son entreprise de démolition se poursuivre devant mes yeux... Toute ma lingerie est maintenant souillée et je me dis que c'est l'horreur ! Mon amour propre est rabaissé d'un cran à chaque fois, je deviens une moins que rien ainsi traitée !

Malika s'étant complètement soulagée dans mon tiroir elle se rétablit et se remet debout en rajustant sa jupe :

    - voila ma belle, ça va empester la pisse dans ta chambre et je te laisse le soin de te débrouiller pour expliquer ça à ton mari !

    T'auras qu'à lui dire que tu t'es pissée dessus en faisant une petite sieste - je suis sûre qu'il va trouver ça super sexy !

Et là dessus elle éclate d'un rire gras suivie en cela par ses deux acolytes !

Je suis effondrée mais visiblement Malika ne se contente pas de ça et j'ai l'impression que chaque épreuve en amène une autre !

Elle me dit :

    - Maintenant prend trois strings dans ton tiroir et trouve nous des post it - on va s'amuser un peu !

Avec effroi je me lève et essaie de trouver dans mon tiroir trois strings pas trop maculés d'urine mais Malika veille et me dit : tu prends les trois premiers à pleine main sinon je te les fourre dans ta gueule de truie pour le restant de la journée.

Je bredouille : non pitié! tout en mettant ma main sur le dessus de la pile là où mes strings sont tout souillés. Me voila avec trois strings plein de pisse en main !

Mais Malika n'est pas satisfaite de mon écart et me dit :

    - tu as voulu faire ta maline en choisissant les moins souillés et ben tu vas être servie pouffiasse ! Allez à 4 pattes hurle-t-elle en me donnant un coup de pied dans les fesses. Et sous le coup je me précipite à 4 pattes au sol.

    - Allez agrippe les strings avec tes dents pour bien marcher à 4 pattes on va continuer la visite !

Et me voilà contrainte de prendre mes strings avec mes dents et obligée de passer devant les trois et après avoir reçu un autre coup de pied bien ajusté sur ma fesse droite, contrainte d'emmener le trio infernal dans le couloir.

    - Allez reste à 4 pattes et renifle à l'endroit où on va trouver des post it !

C'est ainsi que je me dirige devant mon bureau où je fais mine de renifler au sol. Aussitôt Malika ouvre un tiroir et farfouille sans gêne à l'intérieur pour en sortir un bloc de post it. Allez en route pour la suite ! dit elle en me redonnant un coup de pied qui percute ma petite queue en tire-bouchon ce que je ressens jusqu'au fond de mes intestins !

    - Aïe je gémis de douleur mais Malika n'en a cure et un autre coup de pied me frappe dans mes flancs.

    - Plus vite la pouffe ! Retourne au salon !

    - Oui oui dis je en bredouillant pitoyablement et je me précipite d'une démarche saccadée à 4 pattes pour retourner au salon.

Une fois arrivée, Malika ne me lâche pas et m'ordonne de m'installer au piano.

Je m'approche de mon piano laqué blanc et réalise soudain que...

    - Heu mais je dois m'asseoir ... heu sur le tabouret de piano ? je demande ingénue en prenant les strings dans ma main pour mieux me faire comprendre.

    - Bien sûr et débrouilles toi pour bien garder ton tire-bouchon ! Hihihi !

Je me relève penaude et essaie de m'asseoir en me cambrant au maximum pour que mes fesses soient bien en arrière de manière à ce que le tire-bouchon ne touche pas le tissu du tabouret et ainsi évite de forcer mon intérieur...

    - Attends dis Malika tu va spas jouer du piano avec ces strings dans ta main ! Mets les toi donc sur la tête !

Terrorisée je me les mets sur ma tête. Voilà qu'après mes mains, ma bouche, c'est maintenant mes cheveux qui sont souillés par l'urine de Malika !

    - Attends encore, on va faire une photo de toi comme ça avec tes strings sur ta tête (dommage qu'on ne voit pas qu'ils sont pleins de ma pisse), ton tire bouchon aux fesses, tes mamelles qui pendent et ton groin, bien cambrée et coincée comme ça !Je suis tétanisée et ne bouge plus. Je sens l'odeur d'urine sur mon visage c'est horrible. Clic clac, ma déchéance continue !

Puis Malika vient derrière moi et me murmure à l'oreille

    - Alors voilà notre petit jeu à nous deux ! Tu vois la partition qui est sur le piano. Tu vas jouer la première page. Et à chaque couac ou canard, tu auras un gage, jusqu'à trois ! un par string, tu vas vite comprendre.

La partie est inégale : je connais peut être ce morceau par coeur mais dans cette position et cette tenue, c'est l'échec assuré !

    - Allez c'est parti dit Malika !

C'est une sonate et le contraste entre la musique et ma posture est immense. C'est horrible j'ai les mains qui tremblotent. Je n'arrive pas à me maîtriser... Mais je sais que je dois le faire et y arriver.

Je me lance en me disant que j'ai joué 100 fois cette sonate sans problème.

La première ligne passe sans trop de mal mais je sens le souffle de Malika juste derrière moi, attentive à la moindre erreur. La deuxième ligne passe encore à l'arraché. Il me reste deux lignes je dois y arriver. Mais tout à coup je sens que Malika touche le tire-bouchon dans mes fesses et s'amuse à le faire tourner à le pousser.

La réaction est immédiate ! Un gros canard ! Je m'arrête aussitôt. J'entends Malika manifester son contentement dans mon oreille

    - Quel dommage tu étais bien partie. Allez il te reste deux lignes et tu as un gage, continue

Je continue, toujours docile et obéissante malgré moi.

Mais aussitôt Malika appuie encore sur le tire-bouchon et en plus me pince mon téton gauche en même temps !

Le jeu est trop inégal et cruel pour moi ! Je n'ai aucune chance de gagner. C'est juste pour exciter encore plus Malika de me voir espérer et me faire aussitôt retomber dans la déchéance. Le deuxième canard arrive à la fin de la troisième ligne et tout s'enraye, un troisième la mesure d'après, j'abandonne désespérée en pleurnichant.

Malika est triomphante :

    - Trois canards et même pas arrivée à la fin de la première page ! quelle nullissime ! Ca fait trois gages ça !

Et Malika écrit sur le premier post it et me le tends en me disant :

    - Tu le mets sur un string et tu le porteras dans la boîte aux lettres du voisin !

Je lis ce qu'elle a écrit avec horreur : Florence et mon numéro de portable !

    - Oh non pas ça je t'en supplie, je serais grillée dans tout le quartier et en plus c'est un vieux pervers !

    - Encore mieux me réponds Malika, tout cela va décupler mon plaisir

Puis aussitôt elle me tend le deuxième post it qui comporte la même inscription :

    - Même chose pour celui là : tu le mets sur ton autre string et le place sous les essuie-glaces de ta luxueuse voiture.

Puis enfin le troisième :

    - Et celui là tu vas le mettre avec ton dernier string dans une enveloppe où je vais écrire l'adresse : tu la posteras dès cet après-midi et tu auras rapidement des nouvelles de ton correspondant qui te feras découvrir la banlieue de plus près où tu n'as jamais mis les pieds !

Je suis tétanisée. Me voilà non seulement avilie dans mon propre espace mais maintenant je dois aller affronter l'avilissement de l'extérieur !

    - Allez me dit Malika, alors qu'il est midi passé, mets toi au boulot, enlève ton groin et ton tire-bouchon, fais tes trois gages et ensuite casses toi au boulot et attends mon coup de fil avec comme consigne quand je t'appellerai de ne jamais raccrocher !

Et là je compris que mon calvaire était loin d'être terminé et que j'étais embarqué dans un cercle infernal qui allait me faire descendre progressivement les étapes de l'avilissement et de la dégradation.

 

Florence 3

 

 

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